Ravalement de façade Ventabren

Le ravalement de façade  Ventabren n’a pas été réalisé depuis longtemps ? Remédiez-y en appelant notre façadier !

Ravalement de façade Ventabren
Ravalement de façade Ventabren

Les murs extérieurs de tout bâtiment sont soumis aux intempéries et autres agressions extérieures telle que la pollution. Cela entraîne l’apparition de taches et saletés qui remettent en cause l’esthétisme de votre façade et peut causer le développement de certaines pathologies. Pour y remédier, la seule solution est de faire un ravalement de façade Ventabren. Notre façadier à est à votre disposition pour le réaliser à votre place !

Il faut savoir que le ravalement de façade est nécessaire pour préserver le bon état de vos murs extérieurs mais il constitue aussi une obligation à laquelle ne peut se soustraire aucun propriétaire de bâtiment. En effet, chacun est responsable du maintien en bon état de la façade ainsi que des éléments apparents de sa maison ou de son immeuble.

Comment se déroule un ravalement de façade Ventabren ?

Le ravalement de façade suit des étapes qui sont rigoureusement respectées par notre façadier à Ventabren lors de chacune de ses interventions. Ainsi, il commence toujours par un diagnostic de la façade. Cela permet de se rendre compte de son état et notamment de déterminer les pathologies qui affectent les murs extérieurs. Certaines des maladies ne dégradent pas le support comme c’est le cas des taches liées à la pollution ainsi que du changement de couleur mais d’autres l’abîment comme les fissures, les décollements d’enduit, la dégradation des joints de façade… Cet examen attentif permet à notre professionnel de savoir quels traitements il devra mettre en place afin d’éviter la réapparition de ces pathologies par la suite et d’adapter sa méthode de travail dans le but de ne pas dégrader le support.

 

Pour le ravalement de façade Ventabren

contactez notre équipe au

06 66 26 53 68

 

La seconde étape consiste en le nettoyage des murs extérieurs. De nombreuses méthodes existent comme la nébulisation, le nettoyage à haute pression, l’hydrogommage, le peeling, le ponçage, le sablage ou encore le gommage. Notre façadier à Ventabren choisit la technique de nettoyage de façade appropriée en fonction de la nature de vos murs extérieurs et de leur état. Dans tous les cas, les taches, saletés et végétations disparaissent, vos murs sont de nouveau parfaitement propres.

Ensuite, notre professionnel passe à la rénovation de façade. Le but est qu’il n’y ait plus aucun défaut présent dessus. Ainsi, les fissures, superficielles comme profondes, sont traitées pour ne plus apparaître. Elles sont d’abord grattées puis rebouchées avec un enduit de façade qui sera lissé pour un résultat parfait. Les décollements d’enduit et les boursouflures sont traités de la même façon. Le but est que le support soit sain avant que la finition ne soit appliquée dessus.

Notre peintre de façade à Ventabren vous propose alors d’appliquer une peinture dont vous choisirez le coloris et les effets éventuels. Si vous le souhaitez, il est aussi possible de poser un enduit ou un crépi.

Notre façadier à Ventabren réalise l’intégralité du ravalement de façade avec le plus grand professionnalisme afin de vous garantir un résultat parfait. Vos murs extérieurs retrouvent leur bel aspect et seront en mesure d’affronter les aléas climatiques à venir dans les meilleures conditions. Alors, contactez-le pour obtenir un devis de rénovation de façade rapidement !

 

Ventabren

8 000 ans av. J.-C., un faciès culturel de la basse Provence, désigné sous le terme de Montadien, est présent à Ventabren. Le site se trouve à « l’abri des bœufs » au lieu-dit  la Plantade  et présente une énorme escargotière (déchets de cuisine) de 20 m de long. En 1995, a été découverte une nécropole tumulaire avec cinq tertres circulaires avec des tombes individuelles. La sépulture est datée entre 3 370 et 2 925 av. J.-C.[2].

Le « Camp Marius » est un vaste oppidum celto-ligure dont les traces se voient très nettement sur le plateau au-dessus de l’aqueduc de Roquefavour. Des fortifications, dont un mur de 600 m de long protègent les côtés nord et ouest du site, les autres côtés ayant des falaises pour défense naturelle. Ces vestiges ont été identifiés dès 1905 par l'archéologue Henry de Gérin-Ricard. Cet emplacement a été occupé principalement dans la deuxième moitié du Ier siècle av. J.-C., mais des fouilles archéologiques, conduites de 1975 à 1985, ont permis de trouver des poteries, une fibule, des oboles massaliotes et divers autres objets, traces d’une cité plus ancienne (Ve et IVe siècles av. J.-C.). Le site a été abandonné à la fin du Ier siècle av. J.-C., pour des raisons à la fois politiques et économiques[3].

Au XIIe siècle, les maisons de village se groupent autour du château construit depuis peu. Les Sarrasins dévastent les villes, chassant les indigènes. Ceux-ci cherchent sur les hauteurs une sécurité qu’ils ne trouvent plus dans la plaine. On peut donc situer la naissance du village de Ventabren vers 920-940. À ce moment, Guillaume Ier, comte de Provence, ayant définitivement chassé les Sarrazins, fit distribuer à ses compagnons d’armes les terres libérées. Ces derniers construisent alors des ouvrages fortifiés dont le château de Ventabren, dénommé à cette époque « le château royal ». C’était un imposant ensemble encadré de tours et de remparts, totalement inaccessible du côté du couchant. Il est donc vraisemblable que le village se soit construit à l’emplacement actuel à cette période, en se mettant le plus près possible à l’abri du château. De nombreuses caves témoignent encore par leurs vestiges (piliers, voûtes en plein cintre ou ogives) du passé médiéval.

Façade

Une façade (terme du XVIIe siècle venant de l’italien facciata) est la face extérieure d’un bâtiment ou un ensemble de faces que l’on voit globalement de l’extérieur suivant un axe perpendiculaire centré, avec un repère cardinal de position de l'observateur ou un repère de situation dans l'environnement immédiat.

Le terme frontispice venant du bas latin a été utilisé pour désigner la façade principale, le pignon désigne la façade latérale. Le terme de vue a été équivalent à façade jusqu’au XIXe siècle[2], on le retrouve dans le vis-à-vis (voulant dire visage à visage, le terme visage venant de voir en latin). La notion qui concerne une façade face à une autre façade, c'est-à-dire de corps de bâtiment à corps de bâtiment ou d'immeuble à immeuble est apparue à l'époque de la Renaissance avec l'urbanisation de la cité comme modèle d'organisation (Voir Cité idéale).

La partie des murs et autres supports concernés par cette vue depuis l’extérieur fait la plupart du temps l’objet d’une attention particulière de conception et de réalisation pour son aspect rendu, avant même l’apparition à la Renaissance du mot façade. Ce terme propose à nouveau pour un corps de bâtiment une conception anthropomorphique en désuétude avant cette époque par l'effet de la religion en fusion avec la politique de la société. L'idée de base contenue dans le terme est identique à celle de visage pour un corps humain et donnant la physionomie (aspect distinguant l'individu par ses traits de visage), plutôt que l'idée de la structure qui avait été prépondérante au Moyen Âge qui suivait la tendance marquée de se tourner vers l'« essenti el »[3]). Cette différence établit la divergence de notion de façade (entre autres divergences de définitions d'éléments composants dans l'architecture) entre les édifices publics religieux et édifices publics et privés profanes.

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