Le traitement de charpente Coudoux
Le bois est un matériau essentiel pour nos habitations de par ses qualités écologiques, économiques et esthétique. Il est surtout utilisé pour la charpente et celle-ci doit être bien traitée pour garantir une bonne longévité. Le bois attire beaucoup d’envahisseurs indésirables et représente un environnement de choix pour les insectes à larves xylophages comme les Capricornes, vrillettes, lyctus… De véritables agents biologiques de dégradation, ils s’installent dans le bois et se nourrissent de ce dernier en creusant des galeries… Ces larves dévastatrices peuvent causer d’importants dégâts à votre charpente. En effet, une charpente infestée de ce type de parasites peut être fragilisée et même compromettre la solidité de toute une construction. Le traitement de charpente Coudoux reste une solution essentielle pour éviter le pire !
Pour le traitement de charpente Coudoux
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Ce traitement a pour but d’immuniser le bois contre les attaques d’insectes et larves xylophages par l’utilisation de produits fongicides et insecticides qui s’appliquent sur toute la surface du bois jusque dans les encrages. Vous pouvez faire appel aux services de notre couvreur professionnel à Coudoux l’administration d’un traitement de charpente préventif ou curatif.
Le traitement de charpente Coudoux
Ce traitement a pour but de se débarrasser des oeufs, larves et insectes xylophages qui infectent votre charpente.
Quand faut-il effectuer un traitement curatif de la charpente ?
Même si la présence d’insectes à larves xylophages peut être difficilement identifiable, certains signes peuvent être alarmants :
– L’apparition de petits trous à la surface du bois
– L’émission de sons qui proviennent de l’intérieur de la charpente
– La présence de vermoulures
L’observation d’un ou plusieurs de ces signes nécessite l’intervention en urgence de notre couvreur à Coudoux qui va passer par différentes étapes pour réaliser un traitement curatif de charpente.
- Le dépoussiérage
Une fois sur place le couvreur va commencer par dépoussiérer la charpente généralement avec un balai car la longueur du manche permet d’atteindre les recoins et les lucarnes difficiles d’accès.
- Le sondage
Le couvreur cherchera ensuite à confirmer et localiser la présence de nuisibles. Pour ce faire, il utilisera plusieurs techniques :
– Il tapera sur la charpente avec un maillet, un son creux indique la présence de nuisibles
– Il va presser sur toute la longueur de la charpente, à la recherche de zones à faibles résistance dans le bois
– Il piquera le bois à l’aide d’un ciseau à bois tous les 20 à 30 cm sur chacune de ses faces privilégiant les parties sombres, les encrages et les endroits à proximité de la cheminée
- Le bûchage
Une fois qu’il aura localisé les zones atteintes, le couvreur les grattera de manière à mettre à nu les parties saines. Il affinera par la suite avec un brossage afin d’éliminer toutes les vermoulures.
- Le perçage
A l’aide d’une perceuse électrique le couvreur percera une série de trous en quinconce dans la charpente en tenant compte de certaines règles :
Il ne percera que les bois supérieurs à 10 cm de périmètre
Il percera en biais aux 2/3 de l’épaisseur sur les 2 faces et à moins de 5cm du bord
Il percera un trou tous les 35 cm pour les bois supérieurs à 35 cm de périmètre et, pour les autres, un trou tous les mètres.
- La pose des injecteurs
A l’aide d’un marteau, le couvreur enfoncera les chevilles à injection dans les trous, il s’agit de chevilles qui, équipées de valves, sont conçues pour diffuser au coeur des charpentes le produit de traitement insecticide et fongicide. Généralement, il s’agit d’un produit non inflammable qui préservera la texture du bois et permettra la pose de revêtement ou de verni une fois sec.
- Préparation du révolver
Le révolver également appelé buse à injection est équipé d’une pompe qui propulsera le liquide dans les chevilles. Une fois rempli de liquide le couvreur l’emmanche dans la valve de la cheville et presse sur la gâchette jusqu’à ce que le liquide ressorte des fentes du bois ou, à défaut, dans une limite temporelle de 30 secondes.
- Pulvérisation
Le traitement curatif est toujours suivi d’une pulvérisation.
Il est vivement recommandé d’aérer la pièce après le traitement.
Généralement, un traitement garantit la protection vos charpentes pour une durée de 10 ans, de quoi assurer votre sérénité pour un bon moment !
Donc n’hésitez plus, contacter notre équipe pour le traitement de charpente Coudoux !
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Coudoux
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Le canal de Marseille, principale source d'approvisionnement en eau potable de la ville de Marseille, traverse la commune en longeant le flanc de la barre de coteaux au nord du village. Son trajet sur la commune ne comporte pas moins de six souterrains, dont le souterrain de la Baume (environ 400 m de long) et un partagé avec la commune voisine Lançon-Provence[1]
Le quadrant sud-est de la commune recouvre un gisement de lignite partagé avec la commune voisine Ventabren, et prolongé vers le sud-ouest par un gisement partagé entre La Fare, Velaux et Berre-l’Étang[3]. Ces poches de lignite sont dans la partie nord-ouest du bassin lignifère de Provence[4].
Xylophage
Un xylophage (ξύλον (xulon) « bois » et φαγεῖν (phagein) « manger ») est un organisme vivant (désignant le plus souvent les animaux, lignivore étant un terme plus générique[1]) dont le régime alimentaire est composé principalement d'aubier, mais aussi de « bois parfait » (duramen). Ces animaux, à l'état larvaire ou adulte, mangent les branches, les troncs ou les racines des arbres morts ou vivants. Les saproxylophages ne consomment que le bois en décomposition. Les pyrophiles recherchent le bois brûlé par les incendies de forêts (longicorne noir en Amérique du Nord par exemple).
Les insectes dits xylophages, pour la plupart (voir Termitidae), ne peuvent digérer seuls la cellulose et/ou la lignine ; la présence (soit dans le substrat, soit dans leur tube digestif ou dans le bois) de champignons ou de bactéries symbiotes est indispensable à l'assimilation du bois par les xylophages.
Ces espèces contribuent au cycle du carbone, à la qualité du sol forestier, à la résilience écologique et à la régénération naturelle des forêts. Selon la FAO, le réchauffement climatique peut cependant être une source de pullulations anormales d'insectes xylophages[2].