Traitement hydrofuge de toit Ventabren

Vous devez faire traitement hydrofuge de toit Ventabren ? Notre entreprise de couverture s’en occupe !

 

Traitement hydrofuge de toit Ventabren
Traitement hydrofuge de toiture à Ventabren

Le toit a vocation à protéger les habitants d’un bâtiment des intempéries. De ce fait, il doit se montrer d’une imperméabilité à toute épreuve. Pour cela, il est nécessaire d’effectuer toute réparation de toit afin d’éviter toute infiltration mais aussi de réaliser un traitement hydrofuge de toit Ventabren. Notre entreprise de couverture peut le faire pour vous !

 

Pourquoi réaliser un traitement hydrofuge de toit Ventabren ?

 

L’hydrofugation de toit a un rôle très important car elle aide à préserver le bon état de votre toiture, à conserver la couleur d’origine du matériau comme les tuiles ou les ardoises et à prévenir les fissures. Nous attirons votre attention sur le fait qu’hydrofuger une toiture ne répare en aucun cas les tuiles, il apporte seulement une protection en permettant à l’eau de s’écouler de votre toit au lieu d’imprégner le matériau et de le rendre poreux ce qui le fragilise.

 

Pour le traitement hydrofuge de toit Ventabren

contactez notre équipe au 

06 66 26 53 68

 

Afin d’effectuer cette imperméabilisation de toiture, notre entreprise de couverture propose à ses clients d’utiliser divers produits qui sont à base d’eau ou de résine acrylique siliconée. Sa composition permet à l’eau de bien couler sur le toit tout en entraînant les saletés et la poussière. De cette façon, il s’auto-nettoie. L’hydrofugation de toit peut être réalisée à l’aide de :

  • Un hydrofuge filmogène : Il forme un film protecteur sur le matériau lorsqu’il est sec. De cette manière, il empêche l’eau et la poussière de passer.
  • Un hydrofuge à effet perlant : Ce produit contient des additifs et des pigments qui infiltrent le matériau et laissent l’eau s’évaporer. Les tuiles ou ardoises sont ainsi protégées des infiltrations. Il présente l’avantage de laisser le produit respirer ce qui est bon pour sa longévité. En revanche, l’effet perlant est assez prononcé, ce qui peut être gênant pour certains clients.
  • Un hydrofuge coloré : Sur des tuiles qui perdent de leurs couleurs ou qui ont tendance à blanchir avec le temps, ce produit est le plus adapté. Il permet de raviver les couleurs tout en apportant une protection au toit contre la pluie.

Une fois votre choix fait, notre couvreur à Ventabren peut hydrofuger la toiture. Cette opération doit être réalisée sur un toit propre, il faut donc procéder à un nettoyage de toiture au préalable. Il peut être effectué avec une brosse et de l’eau, un appareil à haute pression ou à basse pression, selon la nature du matériau qui compose votre toit et son état. Toutes les saletés, poussières, taches et végétations retirées, il est possible de passer au traitement imperméabilisant de toiture. Pour un maximum d’efficacité, le produit hydrofuge est pulvérisé sur le toit deux fois en laissant un délai de 24 heures entre les deux couches. Votre toit est alors prêt à affronter les prochaines pluies dans les meilleures conditions.

Si vous souhaitez que votre toit bénéficie de la meilleure longévité et ne pas subir d’infiltrations d’eau sur toiture, appelez notre entreprise de couverture. Il vous remettra un devis de traitement hydrofuge de toit Ventabren avant d’intervenir.

 

Ventabren

8 000 ans av. J.-C., un faciès culturel de la basse Provence, désigné sous le terme de Montadien, est présent à Ventabren. Le site se trouve à « l’abri des bœufs » au lieu-dit  la Plantade  et présente une énorme escargotière (déchets de cuisine) de 20 m de long. En 1995, a été découverte une nécropole tumulaire avec cinq tertres circulaires avec des tombes individuelles. La sépulture est datée entre 3 370 et 2 925 av. J.-C.[2].

Le « Camp Marius » est un vaste oppidum celto-ligure dont les traces se voient très nettement sur le plateau au-dessus de l’aqueduc de Roquefavour. Des fortifications, dont un mur de 600 m de long protègent les côtés nord et ouest du site, les autres côtés ayant des falaises pour défense naturelle. Ces vestiges ont été identifiés dès 1905 par l'archéologue Henry de Gérin-Ricard. Cet emplacement a été occupé principalement dans la deuxième moitié du Ier siècle av. J.-C., mais des fouilles archéologiques, conduites de 1975 à 1985, ont permis de trouver des poteries, une fibule, des oboles massaliotes et divers autres objets, traces d’une cité plus ancienne (Ve et IVe siècles av. J.-C.). Le site a été abandonné à la fin du Ier siècle av. J.-C., pour des raisons à la fois politiques et économiques[3].

Au XIIe siècle, les maisons de village se groupent autour du château construit depuis peu. Les Sarrasins dévastent les villes, chassant les indigènes. Ceux-ci cherchent sur les hauteurs une sécurité qu’ils ne trouvent plus dans la plaine. On peut donc situer la naissance du village de Ventabren vers 920-940. À ce moment, Guillaume Ier, comte de Provence, ayant définitivement chassé les Sarrazins, fit distribuer à ses compagnons d’armes les terres libérées. Ces derniers construisent alors des ouvrages fortifiés dont le château de Ventabren, dénommé à cette époque « le château royal ». C’était un imposant ensemble encadré de tours et de remparts, totalement inaccessible du côté du couchant. Il est donc vraisemblable que le village se soit construit à l’emplacement actuel à cette période, en se mettant le plus près possible à l’abri du château. De nombreuses caves témoignent encore par leurs vestiges (piliers, voûtes en plein cintre ou ogives) du passé médiéval.

Imperméabilisation

L'imperméabilisation est un procédé chimique permettant de rendre étanche une matière (tissu, papier, cuir, etc.) au moyen de substances hydrofuges pour l'empêcher d'être traversée par un liquide.

En Mésopotamie et en Égypte l'asphalte (le bitume naturel, le bitume géologique, le bitume de Judée) est employé pour les sarcophages de terre cuite, les urnes cinéraires, les corbeilles d'osier (le berceau de Moïse), les établissements de bains, les tuyaux de drainage, les égouts, les digues et fossés d'irrigation, les piliers d'un pont jeté sur l'Euphrate, les parements des palais et les travaux de voirie. Dans le monde grec, il se produirait une certaine régression dans l'emploi du bitume géologique face au goudron de pin et de la poix[1]?. En poussant la cuisson de la résine de pin on obtenait le goudron de pin – employé pour étancher les jarres et les navires (πίσσα υγρά, κώνα, pix liquida, pix praecoqua, pix uiscosa, picula, picillum[2]), etc. Mais les confusions sont fréquentes dans l'antiquité entre les dénominations de poix, de résine, de bitume et de pétrole[2]. Nul ne sait en définitive pour l'Arche de Noé ce qui a été utilisé pour étancher le vaisseau, du goudron de pin ou de l'asphalte. Le brai gras (pix navalis), du goudron de pin épaissi par ébullition quelquefois additionné de graisse est employé à calfater, imperméabiliser et étancher les coques en bois jusqu'à leur disparition fin XIXe siècle. Le goudron de houille puis les produits du raffinage du pétrole remplaceront par la suite tous ces produits.

L'imperméabilisation des coutures des voiles se faisait par imprégnation au goudron de pin. Le « prélart » ou cagnard des navires était de même goudronné. Il prend en anglais le nom de tarpaulin, traduit en tarp, c'était une bâche goudronnée. Raccourci en tar (goudron en anglais) le terme a peut-être donné son surnom (Jack Tar) aux marins de la marine anglaise qui goudronnaient de la même façon leurs sur-vêtements. Dans les arsenaux de marine, pour préserver les bois des intempéries une toiture mobile était couverte d'une grosse toile rendue imperméable par une peinture à l'huile, ou par un enduit composé d'huile de lin bouillie avec de la litharge[3].

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